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Philosovni
16 septembre 2010

N'ayez pas peur...

« N’ayez pas peur nous ne vous ferrons pas mal »,

cette phrase récurrente dans les témoignages d’abductés,  se voudrait peut-être rassurante si elle ne sonnait comme un avertissement, une mise en garde.

Cette phrase, selon les témoins, n’est pas verbalisée, prononcée, mais « envoyée » directement à la perception cognitive de la victime. L’abducté se trouve donc devant un « robot », ce qui amplifie l’incroyable de la situation et induit la peur.

Cela signifie t’il que « les étrangers » ont identifié le phénomène de la peur chez l’homme ?

Savent-ils que la peur peut amener une perte de connaissance (la syncope), un infarctus ? En ce cas la victime devient un simple dommage collatéral. Il existe des constats d’individus retrouvé en haut d’un poteau électrique ou à la cime d’un arbre ; mort.

Comprennent-ils que la peur est induite par une situation « délirante » ?

La victime se pose la question de savoir combien de temps va durer le rapt, s’il prendra fin, et que vont-« ils » me faire ?

La victime se pose la question la plus banale et pourtant la plus essentielle « est-il possible que je vive cela ? ».

« N’ayez pas peur.. », cela signifie que la victime doit assumer la situation, « les étrangers » exécutent un process, appliquent une méthodologie, sans se soucier de la victime.

La place de l’homme est celle de l’objet dans un schéma étudié et à réaliser.

« ..nous ne vous ferrons aucun mal. » ; « les étrangers » sont-ils d’abord conscient qu’ils imposent l’abduction et ses conséquences graves et lourdes ; une atteinte à l’intégrité la plus fondamentale de l’individu.

Que savent-« ils » du mal, de la douleur ?

Est-ce une référence aux douleurs physiques que l’on peut vivre lors d’actes médicaux ?

Ou sachant que la situation est « impossible », le mal est-il la limite de la mort ou de la folie ?

Cet été je suis allé rendre visite à une parente âgée qui vit en maison de repos. Laquelle comporte quelques lits de « service sécurisé », destinés à accueillir des personnes atteintes de troubles psychiatriques. D’un patient de ce service j’ai entendu cette curieuse charade ;

Mon premier est paralysé,

Mon second est torturé,

Le petit médecin est gris.

Je vis toujours dans l’angoisse.

Lors de l’abduction la victime ne peut réagir. Soit elle est immobilisée lors des « expériences médicales », soit elle obéit aux ordres des « étrangers ».

Cette phrase pourrait alors sembler superflue.

« Les étrangers » suppriment toute possibilité de réactions motrices ; le système pyramidal est « anesthésié », mais les victimes conservent la conscience de ce qui se passe. Sont-« ils » incapable de maîtriser ce qui fait la conscience ?

Cela semble être le cas puisqu’après leur sinistre besogne, ils implantent dans la mémoire de l’abducté un « écran », qui ne supprime pas la mémoire de ce qui s’est passé mais la refoule et la modifie.

La conscience intègre les faits à la mémoire, mais la séquence précise de l’abduction est « effacée », remisée loin dans un refoulement provoqué.

Cette mémoire revient lors de séances d’hypnose. Mais pour une victime qui se souvient, combien vivent avec des troubles divers ; phobies, mal-être, peur, … ?

Sans doute, il y a-t’il une « indication » sur ce que cherchent « les étrangers », chez l’homme dans cet effet combinatoire de la conscience et de la mémoire.

« Les étrangers » s’intéressent beaucoup plus à nos facultés sensorielles, notre « esprit » qu’à notre corps physique.

Les écrans qui distillent des souvenirs d’expériences médico-gynécologiques sont, je le pense maintenant, des leurres qui cachent de plus terribles desseins  

 

 

 

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Philosovni
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